"Un homme marche le long d'une route. En chemin il croise sur le bord de la route un homme en train de creuser un trou. Il lui demande alors:C'est avec ce sourire que j'espère vous fermerez cette fenêtre avant de reprendre le cours de votre vie. Bonne année à vous tous, et n'hésitez pas à m'envoyer vos voeux, ça fait toujours plaisir un clin d'oeil!
- que fais-tu?
- Eh bien ça se voit, je creuse un trou! répond l'autre.
L'homme hausse les épaules et continue sa route. Plus loin il rencontre un autre homme sur le bord de la route qui creuse également un trou. Il lui demande:
- que fais-tu?
- Ah.....je construis un cathédrale, répond l'homme avec un large sourire. Alors l'homme reprend sa route, le sourire aux lèvres."
"Il y a de cela un peu plus de 2 ans je me disais que si je rentrais en France, c'était pour 2-3 ans pas plus. Et qu’après je me repartirais sur mon voilier... Ce pingouin se lève péniblement le matin pour s'engouffrer dans le ventre de la terre et voyager ainsi que de nombreux autres dans un RER qui gémi à chaque entrée en gare.... Mon rêve est effectivement dans une vieille coque acier que je retape actuellement à Bordeaux, mais le chantier est long, surtout quand on ne peut y accéder! qu'une fois par mois.... Alors en attendant le beaux jours pour sabler et repeindre, placer un moteur et commencer les aménagements intérieurs, je mets ma cravate tous les matins... Si jamais ce message te parvient, merci à toi d'entretenir ce rêve. De partager ces bons moments et ces belles anecdotes qui ont ce matin de 6 janvier 2004 apportés un rayon de soleil derrière une cravate, dans un bureau éclairé au néon et trop chauffé, dans un bâtiment gris au bord d'une rue triste dans une banlieue perdue d'une grande ville de l'Occident..." Edouard Andre.Merci à toi et bon courage. Je réalise à quel point j'ai de la chance d'avoir pu réaliser mon rêve et même si je ne le partage plus avec ma compagne de départ, je ne désespère pas de pouvoir un jour le vivre avec une âme comme moi assoifée d'espace, de liberté, de nature et passionnée par la découverte d'autres cultures. Cela demande un courage hors du commun, je le réalise à présent, que de suivre le sillage d'hommes comme Bernard Moitessier. Mais quelle récompense....
Merci beaucoup pour avoir partagé ton rêve avec nous. Je demeure au Québec et en 2005 je pense aller faire un peu de voile dans les lagons en polynésie. Encore merci. Rémi
Le navire est-il en train de sombrer?
Je ne le pense pas, simplement un caprice de météo l'a empêche d'avancer normalement
Qu'oi qu'il arrive, amusez-vous et n'ayez pas peur de commettre des erreurs, parce qu'en general, quand on ne commet pas d'erreur, c'est qu'on ne fait rien... Richard Branson
Il vaut mieux vivre un jour comme un lion que 100 ans comme un mouton....
L'experience est une bougie qui n'eclaire que celui qui la porte..
Sans changements, il n'est pas de progres possible..
A l'auberge de la décision, les gens dorment bien....sagesse Persane
Voici quelques pensées pout toi.
et pour finir:
Trip over ...but today is the first day of the rest of your Life
Et si par un pur hasard je venais à passer par la Polynésie, je me ferais un plaisir de venir bavarder avec toi...
Merci de m'avoir fait rêver......
Jacques
écoutes...Je crois que ce que ce trip m'a le plus apporté dans cet exil sur une coque de noix à 22000 km de "chez moi" c'est la solidarité et l'amitié de tous ceux qui m'ont lu et qui ont manifesté leur intérêt pour ce que je vivais.
depuis que je suis tombé sur ton site en recherchant une BD sur la propulsion electromagnétique et le rayonnement de fond cosmique... improbable, non?
je passe de chapitres en chapitres et n'arrette pas de sourire, je ressens comme une présence (bon, ca m'arrive souvent, faut dire!) alors si ce sentiment peut te rechauffer, saches qu'il me traverse pour venir jusqu'à toi. Une lumière blanche qui traverse mon polyèdre régulier pour venir partager le sourire que tu m'as offert.
Et plus encore depuis deux trois ans j'ai tout largué, et sais-tu par où j'ai débuté la recherche d'un bateau...?
et oui!
Valras, en plein hiver! camping dans les pins avec les chiens dans la nuit et les bateaux hors de notre portée.
(on est deux, marylène, un petit soleil et ma pomme en train de tomber indéfiniment, denis) je t'écrierai dès que je trouverai un poste pour le faire, nous n'avons pas d'acces facile sur le net.
Tous les deux, nous t'embrassons bien fort dans nos bras.
à très bientôt,
denis et marylène
Cette aventure fut comme un pari, un challenge avec moi-même, ma soif de liberté. Je réalise que j'avais peu d'experiences et de compétences pour m'embarquer dans une telle aventure mais que tout au long de ce chemin le Yoga m'a énormément aidé a sortir le meilleur de moi-même pour m'adapter au mieux au situation. J'ai découvert la patience, encalaminé seul à la marina sans hélice pendant sept long mois, la persévérance durant les onze mois de chantier à sec de cale, la prudence au large de Moorea lorsque l'étai de génois a cassé, et la Foi lorsque la providence a répondu à mes prières en faisant croiser une frégatte de passage sur le teritoire à moins d'un mile nautique alors que je dérivais vers l'ouest. J'ai l'impression d'avoir vécu un condensé des aventures lues pendant cinq années dans les livres des autres. Finalement c'est ce que j'étais venu chercher: une vie où je devais me surpasser pour conquérir ma liberté. J'ai pris conscience depuis que la liberté passe aussi par la conscience de ses limites et le temps necessaire pour les dépasser. Je suis heureux d'avoir appris cette leçon de vie sans y laisser ma peau. Je ne dit pas que je repartirai pas, mais pas avec si peu d'experiences et de connaissances spécifiques (mécanique diesel, electricité, etc...) et surtout avec le bon équipage: des personnes aguéries et volontaires. Il est pénible d'être seul porteur d'un rêve et de l'imposer à l'autre plus que de le partager quand votre compagne se rend compte des difficultés et des contraintes de la vie à bord au-delà du rêve... Avis au amateurs...et Bon vent!
Ci-dessous un extrait du numéro de juin:
L'impensable est arrivé ! Le « choc », le « séisme »« l'impensable », le « tremblement de terre », « la secousse », nombreux ont été les qualificatifs utilisés pour décrire le score électoral du soir du 23 mai. Ce fut la stupeur et le choc au Palais présidentiel. Ce fut la surprise et la joie pour une majorité d'électeurs qui avaient voté pour un des partis d'opposition. Enfin, ce fut un« ouf » de soulagement pour une grande majorité de la population qui se rendit compte qu'une sorte de "chape" était brisée. Ainsi peut-on titrer la mise en minorité de Gaston Flosse qui, hormis une brève interruption entre 1987 et 1991, a dirigé les affaires de la Polynésie française depuis 1983 d'une manière autocratique grâce à un « système Flosse » (nom inventé par Tahiti-Pacifique en juin 2000) qui noyautait et introduisait le sectarisme politique dans tous les secteurs de la société, même les plus innocents tel le football ou les courses de pirogues. La stupeur fut monumentale au Palais présidentiel où plus de 1000 apparatchiks et courtisans se gavaient d'un « festin de la victoire », payé bien entendu par le contribuable, en suivant les résultats du vote sur d'immenses écrans géants de haute technologie. Les centaines de bouteilles de champagne frappées durent être renvoyées aux cuisines alors que l'armée de "conseillers" et autres "chargés de mission" se rendaient compte qu'il pourrait y avoir un changement radical dans le plan de leurs carrières dorées. D'autant plus que l'échec de leur maître Gaston Flosse est dû essentiellement à la clause de la « prime à la majorité » que celui-ci avait personnellement imposé au Sénat afin de laminer les partis d'opposition, tout comme il avait lui-même demandé la rapide dissolution de l'assemblée de P.F. (lire nos explications p.10). Joie, mais retenue chez Oscar Temaru, le grand vainqueur qui découvrait la surprise électorale assis sur une simple chaise en bois en regardant un poste de télévision de 36 cm dans une salle de classe nue, juste éclairée par quelques néons. Le contraste entre cette simplicité et le faste sans retenue au Palais présidentiel était frappant, et Ô combien révélateur ! Ainsi donc, à moins que Monsieur Flosse et ses amis de l'Elysée n'essaient de "tripatouiller" les résultats de cette élection, ce sera l'union de l'opposition, avec Oscar Temaru à sa tête, qui devrait s'installer sur le trône royal de la nouvelle institution du « président de la Polynésie française » que M. Flosse s'était aménagée avec l'aide de ses copains à l'Elysée et Matignon. On comprend pourquoi Gaston Flosse n'acceptait toujours pas, le 1er juin, le verdict des urnes ! Ce « taui », ce changement nous permet de rêver. Tahiti et ses îles devraient enfin se détourner des rêves de grandeurs mégalomanes pour réintégrer une réalité plus en phase avec sa taille (250 000 habitants) et ses ressources réelles. Ainsi pourra-t-on économiser les milliards gaspillés pour tenter de construire une aura de prestige, de « chef d'Etat » pour un autocrate désormais désavoué par la population. Que faire alors de ce Palais présidentiel de plus de 5 milliards Fcfp (40M¤), démesuré et digne d'une opérette ? Et de ses 623 employés et courtisans (!) qui coûtent plus de 3 milliards (25 M¤) par an au contribuable. Pourquoi ne pas transformer le "Palais de Gaston" en un « Casino Palace » comme le gouvernement du Queensland australien a fait avec son immense hôtel des impôts de Brisbane ? Surtout que tout le nécessaire, un luxueux restaurant de 300 places avec cuisines adéquates, un grand parking souterrain et une décoration kitsch digne de Las Vegas existent déjà. Il suffira de brancher les machines à sous dans les prises électriques et installer les tables de roulette et de baccarat dans la salle du conseil des ministres ! Les emplois du petit personnel pourraient être ainsi préservés, et mêmes les 12 ravissantes hôtesses de Président pourraient se reconvertir en croupiers. La splendeur flossienne de ce casino devrait attirer bien des joueurs fortunés, donc produire des revenus au lieu de gréver le budget, mais aussi aider à enfin relancer notre tourisme. Ô combien d'autres gaspillages des fonds publics vont pouvoir être possibles : la réduction du nombre et des salaires des ministres, mais aussi des représentants de l'assemblée. L'élimination de la nébuleuse de postes de prestige et d'emplois fictifs, les « fromages » créés au cours des deux dernières décennies pour payer des rentes à la clientèle politique et aux fidèles du Tahoera'a. Rien que dans ce chapitre, la Polynésie française devrait économiser au moins trois autres milliards, mais on doit se rendre compte qu'il faudra plusieurs années pour nettoyer nos îles de ce « système Flosse », version tropicalisée et boulimique de l'ancien et chiraquien « système de la Mairie de Paris ». Espérons d'abord qu'après le 9 juin, si elle accède au pouvoir, la nouvelle majorité respectera, elle, sa promesse électorale pour une transparence financière, la chasse aux abus et gaspillage et le rétablissement de la décence et de la rigueur dans la gestion de notre Polynésie française. Pour rassurer le monde des affaires et dans un esprit de rassemblement, pourquoi ne pas demander à Patrick Peaucellier de revenir à Tahiti pour s'occuper des Finances ? Tout est désormais possible ! Espérons enfin que l'Elysée, comme Gaston Flosse, honoreront le processus électoral en acceptant enfin le verdict des urnes, qu'ils ne tenteront pas de voler à l'opposition sa victoire avec des « coups fourrés » ou d'autres manipulations. Paranoïa ? Peut-être, mais n'oublions pas que c'est la même entité politique avec la même mentalité qui a injustement fait condamner Pouvanaa a Oopa à la prison et à l'exil en 1958 ! (lire TPM 146, 06/03). Après 20 années de dérives et d'un certain mépris, la population de Tahiti si aimable, patiente et courageuse a bien mérité qu'enfin on respecte son choix ! Le fiasco social et économique actuel est essentiellement dû au fait que l'on n'a fait que copier-coller des programmes préparés à Paris pour un grand pays industriel, ce que la Polynésie française n'est certainement pas. Ainsi, conseillé par les mêmes énarques avec toujours les mêmes solutions (des subventions, encore des subventions), on ne faisait que répéter les mêmes erreurs (lois Pons, Girardin) déjà commises à la Guadeloupe, en Martinique ou autre Réunion, suivie par les mêmes échecs (inégalités croissantes, l'économie sous perfusion croissante, « un déficit structuré » comme dit l'IEOM). Le gouvernement précédent reconnaissait d'ailleurs ce triste état des choses en lançant une nouvelle « charte du développement » et en demandant à la population de lui donner quelques « idées fraîches ». Le vieux système Flosse, aller tous les deux mois à Paris pour « taparu » (flatter, mendier) de la « coopération », de la « solidarité » ou autre « compensation » pour ensuite construire des palais et acheter des avions présidentiels, était désastreux, destructif, suicidaire. Par contre, grâce au changement de majorité, grâce au nouveau statut de la Polynésie française (merci Gaston, merci Chirac !) et grâce aux revenus garantis par la France (la rente pérenne) une nouvelle ère s'ouvre pour Tahiti et ses îles et il ne dépend que de toi, Oscar Tane, toi qui es le premier à détenir les vastes nouveaux pouvoirs de président de la Polynésie française, d'exploiter avec courage, vision et sagesse et dans toutes ses possibilités l'occasion exceptionnelle qui nous est offerte. Fa'aito'ito ! (bon courage !)
Alex W. du PREL
Directeur de la publication "
Juste un petit mail pour vous dire que j'ai bien aimé votre site, qui permet à ses lecteurs de rêver, Pour ma part, j'ai pas mal voyagé, au tout début à pied avec mon sac à dos, ensuite l'envie du voilier, mais je n'ai jamais réussi à trouver ce que je cherchais, du moins, j'étais sans doute trop jeune, et mon manque d'organisation m'a empêcher de réaliser mon rêve. A la naissance de mon fils, il y a cinq ans, ma fille avait déjà quatorze mois, de plus en plus dans ma tête mes rêves de voyages, d'aventure, de lointains, m'obsédaient de plus en plus. Puis finalement, l'idée m'apparue, le camping car, et depuis nous avons avalé de très longs kilomètres tous les trois, et cette nouvelle façon de voyager n'est pas plus mal, mes enfants ont vraiment pris gout au voyage, et il y a quelques jours, ma fille aujourd'hui agée de six ans et demi m'annonce avec un air interrogateur, "mais papa, pourquoi n'achèterais tu pas un bateau pour qu'on voyage plus loin encore ?" Finalement, quand une fois dans votre vie vous quittez ce confort quotidien, vous partez pour une vie de découverte, vous "surfez" d'îles en îles, vivez au rythme des voyages, jamais plus vous n'oublierez ces moments, et une certaine nostalgie, ainsi que des moments de la vie, vous pousseront chaque jours un peu plus à repartir de nouveau. Olivier.Saint-Sulpice@wanadoo.frOlivier a raison, le départ, l'aventure me rongent. Mais malheureusement je ne suis pas en fonds pour le remettre en état de partir et voyager seul ne m'enchante guère. Aussi, le voilier n'étant pas vendu et trouvant ridicule de le laisser là au mouillage, une idée m'a traversé l'esprit: le laisser à la disposition pendant un an à la personne qui le remettra en état soit environ 7000 euros de frais et un gros mois de chantier. Ca peut-être l'opportunité de visiter la Polynésie à la voile à moindre coût (quand on voit le prix des locations ici!). Et pour moi, c'est la possibilité de le retrouver en état dans un an pour partir pour de nouvelles aventures! Alors si l'idée vous tente, n'hésitez pas à me contacter je vous enverrai un rapport technique détaillé. Je suis aussi ouvert à toute autre idée de partenariat pour sortir Hamsa de ce mauvais pas.
"Tant que l'homme continuera à être le destructeur impitoyable des êtres animés des plans
inférieurs,
il ne connaîtra ni la santé, ni la paix.
Tant que les hommes massacreront les bêtes, ils s'entretueront.
Celui qui sème le meurtre et
la douleur, ne peut en effet récolter la joie et l'amour."
PYTHAGORE
"Découvrez ce que vous aimeriez faire et faites tout votre possible pour y parvenir."
[ Richard Bach ] Extrait de la préface de Jonathan Livingstone le goéland
Après deux Noëls passés sous les tropiques, même avec la perspective d'un long voyage avec le van d'un ami pour ramener ma fille en Bretagne, nous sommes ravis de retrouver un beau manteau blanc au lendemain de Noël. C'est comme si le ciel en accordant son Pardon pour nos fautes passées nous recouvrait d'un voile de pureté et d'innocence. Blanchis! Les enfants, Lilou et son frère ainé Gabriel font des boules de neige. Moi, éternel spectateur, je contemple les choses simples de la vie comme en sursit. Chaque instant est un cadeau, un bonus. Je savoure chaque seconde avec ceux que j'aime et qui m'ont tant manqué. Mais je sais aussi que tout cela est illusoire.
Je sais que tout a un sens, surtout une maladie comme celle là, et qu'il me faut decrypter le message pour résoudre le conflit intérieur qui est à l'origine de tout cela. Avant de développer ce sujet, je tiens à rappeler la situation actuelle dans la lutte contre le cancer. Trois types de thérapies sont pratiquées :
1.. La chirurgie : technique invasive par excellence, qui peut être mutilante suivant l'organe atteint ; et qui peut se révéler impossible à utiliser ; c'est pourquoi, dès 1896, on a utilisé....
2.. ... les rayonnements ionisants, X d'abord, puis éventuellement G. Mais que faire devant des tumeurs inopérables et radiorésistantes ? Les recherches de médicaments anticancéreux ne donnant rien, des médecins américains ont mis au point en 1942 une troisième thérapie dont ils ont caché la nature véritable en l'intitulant :
3.. La chimiothérapie : l'idée de base est la suivante : chercher et trouver un poison qui soit un peu plus "poison" pour les cellules cancéreuses que pour les cellules saines. Il faut retenir de cette troisième méthode que c'est une thérapie par défaut : devant les échecs pour trouver un véritable médicament anticancéreux, on se résigne à empoisonner le patient. En toute logique, une telle pratique doit disparaître le jour où l'on découvrira de vrais médicaments anticancéreux sans effets secondaires.
(extrait du site arsitra)
J'essaie donc de choisir le moindre mal. La chiomiothérapeute par chance est "ouverte" aux alternatives, elle ne m'impose donc pas un traitement lourd mais simplement d'appoint et optionnel en fonction des réactions de mon organisme.