Les Nouvelles

27 juin 2005: Nouveau projet de voyage
Désolé pour le silence radio, mais je rentre à peine de convalescence suite à un curetage ganglionnaire avec greffe de peau et de muscle au niveau du cou. Une opération chirurgicale pointue de 5 heures réalisée par le service du Pr.GUERRIER à l'hôpital Guy de Chauliac de Montpellier. Un travail d'orfèvre malheureusement desservi par un service hospitalier vraiment minable où l'on se sent traité comme du bétail à côté de ce que j'ai connu à la Clinique Ste Catherine à Avignon. Enfin j'y suis resté onze jours et ensuite j'ai passé trois semaines en maison de repos à Lamalou-les-bains. Très beau coin paisible qui m'a permis de rééduquer peu à eu ma déglutition endolorie.

A la fin du séjour, le 19 juin avec les premières chaleur n'y tenant plus je décide d'aller visiter un Cata Edel 26 à Balaruc. Chapeau, lunettes de soleil, et me voilà sur la route à faire du stop à 16h00. La chance aidant, nous arriverons mon amie et moi une heure et quinze minutes plus tard! On a le vent en poupe, mais le rendez-vous s'annonce mal, on se rate trois fois d'affilé par confusion ce qui me fait douter de l'affaire. Effectivement, l'edel est beaucoup trop cher par rapport à son état général. Je me dit qu'on est pas venu là par hasard. On décide de goûter les huîtres de l'étang et de coucher sur Mèze. Le lendemain matin, j'achète "Annonces du bateau" et "Multicoques". J'y trouve deux annonces de Wharram. Le Wharram m'avait été conseillé par mon ami skipper qui me donnait des cours de perfectionnementà la voile à Tahiti (voir http://www.wharram.com/). Sa forme, son nom polynésien ("Jalan Vahiau" : voyage vers la Paix) font écho en moi. Le lendemain, nous demandons à l'ambulance qui doit me rapatrier à Avignon en passant par l'hôpitalà Montpellier, de nous récupérer à Frontignan où nous visitons un Wharram Tane de 8,70 m en parfait état, refait à neuf en 2004, très bon prix, mais un peu juste pour la croisière hauturière.

L'après-midi, j'abuse de la gentillesse de mon ambulancier préféré pour qu'il fasse un détour sur Aigues Mortes où nous avions repéré un Wharram de Oro de 45 pieds cette fois! En un quart d'heure montre en main, on fait connaissance, le prix est beaucoup trop élevé par rapport aux travaux restant à réaliser et mon budget. Je repars déçu. Mais bon, faut pas rêver, tout à un prix. Le week end dernier, la moto étant réparée je décide d'aller faire une ballade au bord de la mer et pourquoi pas tant qu'on y est prendre le temps de mieux voir ce Cata Oro. Photos numériques tout azimut, inspection de fond en comble. Une évidence: le bateau est sain et à été méticuleusement rénové et protégé. Les coques en bois on été traitée et recouvertes de polyester. Il y a juste un point sous une cale à revoir, et les ferrures de safran qui ont commencé d'être refaite à terminer. Ensuite: gel coat, anti-fouling et à l'eau! Pas énorme comme budget ni en temps. En plus on est sur un terrain privé, pas de pression d'un chantier à payer. En fait je vais resté bloqué le week-end à sympathiser et parlementer avec les vendeurs après avoir obtenus des vendeurs vivant là sur le canal à bord de leur barge, l'autorisation de dormir à bord du Cata. Le confort des cabines doubles au nombre de trois est irréprochable par rapport à ce que j'ai connu à bord de Hamsa. Toutes mes erreurs, points faibles, négligences commises me servent aujourd'hui comme un capital de connaissance me rendant vigilant, prudent et pointilleux. Je crains un manque d'attention, une impasse sur un point important, aussi je prend le bateau en photo sous toutes les coutures. Deux moteurs hors bord: impeccable, facile d'accès et de manutention sur deux chaises réhaussables et coulissantes. Un minimum de vannes, les fond de cales et les soutes sont clean, le bois à été traitéet vernis à l'epoxy. Le premier propriétaire était le patron de TDM voiles aussi le bateau est équipé d'un gréement d'exception. Juste deux goussets de lattes à revoir ainsi que le système de fixation des lattes un peu lourd et gros. Les voiles blanches et bleues sont magnifiques. Le bateau est gréé en goélette avec trinquette bôméeà l'avant. Autant dire que c'est un bateau de croisière qui avance comme sur des rails avec ses deux coques en V une fois bien réglé. La plate-forme entre les deux coques me fait rêver de postures de yoga au soleil levant avec un espace suffisant pour deux personnes.
Petit à petit je me sens en confiance. Surtout après la première nuit passée à bord, je découvre sous la table à carte un exemplaire de l'un de mes premiers livres de chevet de yogi: "La vie de Jetsun Milarépa" le yogi-poète tibétain, dont la lecture me fit entrer dans la lignée Kagyupa en 1987 auprès de Kalou Rimpoché considéré aujourd'hui comme une émanation de Milarépa. Ce signe me trouble car je n'étais pas très chaud vu l'ampleur du travail physique et mon état. Mais la vie de Milarépa est fameuse par ses purifications physiques que son maître lui imposa pour purifier son karma négatif antérieur de magicien noir...

Après mon inspection je fais une offre assez dure et pessimiste. Les proprios font la moue. On vais faire un tour à Aigues-Mortes en prenant rendez-vous au préalable pour dîner tous ensemble le soir même. On se charge d'amener du poisson frais pour toute la smala! L'enthousiasme me gagne peu à peu. J'avais pensé opter pour un petit bateau entre 8 et 10 mètres, léger et habitable au minimum. Mais le vendeur de Frontignan m'a déconseilléde tenter l'aventure d'une grande traversée sur son Wharram (homologué en 3ème catégorie). Le livre de Wharram "In the wake of the sailorman" trouvé à bord du Oro finira de me convaincre. 14 mètres 06 de long et 6 mètres 20 de large pour mes petits bras décharnés par mon traitement, c'est une gageure ( se dit d'une chose si étrange qu'on est tenté d'y voir un pari selon Larousse). Mais je réalise qu'ayant de l'espace, je pourrai avoir de l'équipage sur ce que je voudrai être un bateau école de vie selon les préceptes de ma philosophie yogique. Peu à peu, un par un, mes doutes se lèvent. Le soir nous passons un excellent moment et des liens se tissent. Nous nous reconnaissons comme des marginaux un peu fous, comme si nous étions arriver sur le tard pour participer à Woodstock et tout le mouvement de 1968. "Zut on arrive trop tard, tout le monde s'est rangé ou rendormi!" pourrait être notre phrase type de notre génération 65. Je fais une autre proposition plus réaliste comme si auparavant j'avais voulu empêcher l'affaire réalisable. Le lendemain matin, j'ai un eurêka, et je fais ma dernière proposition qui satisfait les deux parties en entraîne la signature du compromis de vente. Du coup je ne suis pas venu pour rien, ma bonne étoile a encore fait des siennes! Aujourd'hui je suis convaincu que ma guérison passe par la poursuite de mon rêve de voyage, le bateau me fait vibrer, j'en oublie la maladie. J'envisage de rester en France le temps de préparer le bateau tout en me soignant et en essayant d'obtenir une pension d'invalidité, ensuite d'ici trois ans, après avoir exploré les côtes méditerranéennes en famille, j'espère faire enfin la grande traversée jusqu'à Tahiti et arriver aux marquises par la mer comme Brel et les autres....

Voilà, tout cela bien sur dépend de la vente effective de "Hamsa" au prix demandé dont j'attend le virement bancaire. Croisez les doigts pour moi svp! Dés que je reçoit l'argent, je confirme mon engagement sur le Wharram, je récupère ma fille Lilou à l'aéroport pour les vacances et nous revoilà parti sur un chantier quand même plus agréable que ce que l'on a connu sur Hamsa à Raiatea en 2002! (voir carnet de bord).

[ Marc Levy ]

14 juin 2005: Hamsa est sous promesse de vente !!
Je suis en convalescence à Lamalou-les-bains. Calme, agréable, fleuri, je suis bien soigné dans cette maison de repos "Les Colombiers". Mais j'ai la bougeotte, alors je vais régulièrement me promener au moins une fois par jour, même si je suis encore très faible. En contrôlant mon mail bonne nouvelle: un américain de Hawaï m'a fait une proposition ferme au prix que j'avais affiché. Je transmet mes coordonées bancaires dans la foulée. J'attend le virement qui a été confirmé par l'acheteur. Les projets et rêves défilent dans la tête.

En plus de ça en homéopathie je prend:
- gui (aide à débarrasser des cellules malades)
- millepertuis (calmant)
- kola (regonfle l'énergie)
- Poconeol 4, complexe de plantes amazonienne à l'essai. Anti-oxydant.

La nuit je me fais un cataplasme sur la tumeur avec de l'elixir du suédois.
Au lever: cataplasme d'argile verte 15 à 20 minutes avant bain de vapeur.
le jour application d'un mélange d'huiles essentielles: Karitea (afrique) + Rose musquée + huile de ricin.
Massage du cou avec huile (à base d'huile de noisette) spéciale anti-douleur que je me procure chez Santé Bonheur à Avignon 04 32 76 27 39.
Je mange quand j'ai faim, souvent un seul repas vers 14h avec crudités et légumes cuits en plats cuisinés que je me régale de varier en piochant dans mes recettes végétariennes. Je mange peu de protéines, peu de féculents, peu de céréales si ce n'est pour accompagner les recettes. Depuis que je mange ainsi mes selles sont redevenues impeccable. Préparer mon repas est devenu une cérémonie et je me découvre des talents de cuisinier Je me suis équipé de livres sur la diététique végétarienne et aryurvédique et la cuisine crue. Je mange des graines germées et prévois de reprendre aussi les jus d'herbe qui sont utilisés dans le plus célèbres centre de traitement du cancer par des moyens naturels aux états unis, l'institut hipocrate

- Tous ces produits et traitements sont longs et coûteux: Elixir du suédois: 25 € pour 350 ml, Aloe vera 30 € pour 1 L, huile douline: 16 € / 100 ml, etc...plus les consultations chez les spécialistes: accupuncteur, irodologue, etc...

C'est toute une démarche quand on ne veut pas suivre bêtement le bétail à l'abbatoir avec les traitements classiques qui reposent nos pas sur une démarche personalisée mais sur un bombardement systématique du corps avec des statistiques d'en réchapper... je m'aperçois que la santé à un prix et avec les 470 € par mois de l'assurance maladie, je suis très limité. Heureusment que je suis aidé. Mais comment font les autres? Ou est la liberté du choix thérapeutique dans tout cela?

Ma condition physique semble s'améliorer, les muqueuse continuent de se réparer, mon énergie, mon moral et mon poids remontent, je perds moins de cheveux, j'arrive à sortir pour faire mes courses en ville avec le bus, me ballader, flaner au soleil, regarder les gens vivre... je ne suis plus hanté par la peur de mourrir (que certains toubib savent utiliser comme une épée de Damocles pour faire pression pour mettre en route traitements ou opérations). Je suis heureux car je vis de façon optimum ce qui m'arrive en ayant l'impression d'en comprendre de mieux en mieux le sens profond. A ce titre, j'ai retrouvé les coordonées de cet ouvrages fabuleux sur le sens des maladies: "La Clef de l'Autolibération - origine psychologique de plus de 900 maladies" de Christiane Beerlandt aux editions Beerlandt publication Steemveg 44 - 9810 NAZARETH - Belgique.
ISBN: 90-75849-04-4 à la librairie où je vais il est à 44,25 euros (gloups) et sinon je viens de le voir moins cher - 5% à 42 euros sur alapage.com ou amazon.com
Cet ouvrage encyclopédique contient outre les textes sur les origines psycho-émotionnelles de quelque 900 maladies, des rubriques très intéressantes décrivant la signification symbolique et psychologique des parties du corps et des organes (cerveau, cœur, épaule, foie, les différents doigts, les vertèbres, etc. …). L’auteur ne dit pas : “Ne prenez pas de médicaments, ne prenez pas d’herbes, etc.”, mais bien : “Que l’on guérisse avec ou sans aide extérieure, il est important de faire en même temps un travail sur soi pour résoudre le problème psycho-émotionnel sous-jacent.” Alors seulement une guérison fondamentale est possible.
(il y a une présentation sur ce site: www.christianebeerlandt.com) Chaque fois que j'en ai lu un extrait concernant mon affection, j'ai eu l'impression que c'était le Divin qui s'adressait directement à moi, très impressionant. On a vraiment l'impression que c'est Dieu qui parle à travers elle. Ca m'a beaucoup plus interpellé que les ouvrages de C. Fleche sur l'approche de Hamer. Une dimension au-dessus, elle l'a écrit en channeling. Quelqu'un a proposé de me l'offrir, je l'attend. A l'occasion j'en mettrai des extraits. En ce qui concerne ma pathologie en résumé c'est lié à des émotions refoulées depuis très longtemps. Lors de la séance chez l'iridologue j'en ai sorti et exprimé un gros paquet, et ce fut libérateur. Depuis c'est le tournant, je remonte la pente! Cette rencontre restera cruciale et marquante dans ce parcours.
Christiane Beerlandt dit "chaque émotion exprimée ce sont des cellules cancéreuses expulsées!!"

A la lumière des transformations inétrieures que je vis, je veux bien le croire!

Je voudrais conclure avec un article de l'institut Hippocrate que je viens de découvrir en français:

"Bon nombre d'entre nous ne réussissent pas à recouvrer la santé, étant incapables de laisser le passé derrière soi, ce qui a pour effet, non seulement de miner la santé émotionnelle, mais aussi d'affaiblir le système immunitaire et l'état général. On se donne carte blanche pour continuer à se faire du mal par de mauvais choix alimentaires, l'absence d'activité physique, etc. Ici, dans le changement de vie Hippocrate, nous sommes témoins, chaque jour, de l'évolution de la guérison. Les outils essentiels à l'atteinte d'une santé florissante sont évidents. Avant de pouvoir s'en servir, il faut effectuer un examen introspectif rigoureux et de mettre tous ses problèmes sur la table, afin de découvrir la nature de sa mission. Le premier outil consiste à faire face aux souvenirs et aux peurs les plus douloureux que l'on porte en soi. Pour la plupart, il s'agira d'un sentiment d'abandon ressenti pendant l'enfance. Pour d'autres, il s'agira d'une névrose pure et simple transmise par Maman et Papa. Des choses simples, comme l'acrophobie (phobie des lieux élevés) à des plaies plus profondes sont des facteurs empêchant une personne de jouir d'une vie remplie et heureuse. Sans aucun doute, la résolution et l'élimination des cicatrices laissées par la vie insufflera le courage de cheminer sur la voie de la guérison. Le deuxième outil touche, sans contredit, la consommation d'aliments riches en poisons et un style de vie inactif. Il est évident, au point de vue structural, que ces éléments chargés de produits chimiques et à forte teneur en gras indigestes que nous appelons aliments peuvent mener au dégoût de soi et à la maladie. Trop souvent, la consommation de tels aliments se traduit par les mots délicieux, bourratif et satisfaisant, masquant leur pénurie en valeurs nutritives. L'envoûtement pour l'exercice est un échec total, ralliant moins de 20 % de la population. Pour la personne moyenne, faire de l'exercice se résume à faire le tour du pâté de maisons ou à soulever une bouteille de boisson gazeuse de deux litres. Pour une performance optimale, le cerveau, les systèmes nerveux, musculaire et immunitaire ainsi que l'appareil squelettique ont besoin d'exercices d'aérobie et de musculation. Le manque de vrais aliments et d'exercice est à l'origine de près de 80 % des maladies. L'autre 20 % (environ) est attribué au premier facteur, soit les troubles psychologiques. En tant qu'être humain, il faut s'efforcer de libérer son plein potentiel. Chacun doit prendre conscience de l'extraordinaire conception de son corps et de son esprit, ce qui permettra de faire des progrès réels dans un programme de rééquilibre, de régénération et de guérison, permettant également de récupérer son droit acquis à la santé et au bonheur. Tout se guérit par le pouvoir de l'engagement personnel. Cet article est dédié à ceux qui sont passés par là. "

Si la perception des pouvoirs de Gaston Flosse par la population était souvent exagérée, elle se trouvait renforcée par l'immunité confirmée d'un « Gaston Téflon » sur lequel la justice n'avait aucune prise. « Président » acquitté, encore acquitté et toujours acquitté (parfois dans des affaires où sa culpabilité était avérée) grâce à de coûteux « avocats pompiers » aux argumentations alambiquées et à la fausse indignation, mais aussi grâce à toutes sortes de réseaux obscurs et de procureurs complaisants, dont l'un d'eux avait même annoncé à ses collègues « on m'a nommé ici [à Tahiti] pour que rien n'arrive à Gaston, et rien ne lui arrivera ». Une « protection » dont le potentat fit bientôt profiter son entourage et ses proches avec l'aide de hauts-commissaires « aux ordres » qui accepteront de bafouer les (rares) condamnations définitives d'amis de Gaston Flosse en refusant de les faire appliquer sous des fallacieux prétextes, ou de lourdes condamnations qui « s'évaporent » d'un coup de baguette magique, parfois au mépris des textes, confortèrent l'aura d'immunité et de pouvoir absolu d'un « intouchable » despote « au-dessus des lois ».

Une sorte de « roi de Tahiti » qui prenait goût à s'entourer de flatteurs qui se frottent à lui tous les jours comme un chat se frotte à son maître pour obtenir la poignée de croquettes ; des croquettes qui sont en réalité nos impôts et ceux des Français de Métropole, car les « sucettes » et « fromages » que M. Flosse distribuaient sont toujours des emplois de cabinet, les présidences et les directions d'une nuée d'officines territoriales et de sociétés d'économies mixtes et, bien sûr, des postes dans la fonction publique, tant convoités à Tahiti. Ses anciennes « favorites » qui ont ainsi été casées sont légion et c'est encore nous, les cochons de contribuables, qui pendant les décennies à venir allons continuer à les payer les salaires et retraites de ces dames. Offrir des places, des honneurs, des dignités pour ceux qui lui montre fidélité et admiration, peut-être, mais que dire aussi des nombreux politiciens condamnés pour corruption auxquels M. Flosse a confié des responsabilités très sensibles, la direction d'officines brassant des sommes colossales ? C'est un véritable recyclage d'élus corrompus auxquels on accorde une sorte de « prime à la casserole » ; le seul avantage de ces hommes étant qu'on peut mieux les tenir.

Ce « système Flosse » échafaudé sur la vénalité des personnes, tenait en place grâce aux menaces de représailles économiques ou autres qui frapperaient celui qui aurait l'audace de déplaire au Prince qui contrôle l'essentiel de l'économie grâce aux transferts de métropole et aux contrats de l'administration. C'était vraiment le « asservir le pays au lieu de le servir ». ......(voir suite de l'article sur le site)